3 nov. 2007

Le nouveau paradigme nucléaire


« La pollution atmosphérique mondiale créée par les particules d'uranium appauvri résultera en une dépopulation massive à l'échelle mondiale. En accroissant la mortalité et en diminuant la natalité mondialement, plus de 2 milliards de personnes seront éliminées. » Dr. L. Mauret


"
C'est à nous de décider si nous voulons progresser inlassablement sur la voie du bonheur, du savoir et de la sagesse. Allons-nous, au contraire, choisir la mort parce que nous sommes incapables d'oublier nos querelles? C'est un appel lancé par des êtres humains vers d'autres êtres humains : rappelez-vous que vous êtes de la race des hommes et oubliez le reste. Si vous y parvenez, un nouveau paradis est possible; sinon, vous risquez l'anéantissement universel." Manifeste Russell-Einstein, 1955


La révolution industrielle

Point tournant dans l’histoire de l’humanité, la fin dix-septième siècle voit l’avènement de la révolution industrielle, une époque de mécanisation et d’automatisation sans précédent. L’économie, auparavant basée sur le travail manuel, est graduellement remplacée et supplantée par le travail à la chaîne, la machinerie et l’industrie. Ces changements s’accompagnent de bouleversements culturels, socio-économiques et militaires remarquables, en Angleterre tout d’abord, puis dans le reste du monde. Dans un premier temps, tous ces développements sont rendus possibles grâce à la fabrication du moteur à vapeur, qui servira à propulser les machines, les trains et les navires. Le moteur à combustion et la génération de l’énergie électrique viendront compléter ce progrès dans un second temps. C’est à ce moment que, pour la première fois, on contemple l’utopie d’une société des loisirs, où les êtres humains seront finalement totalement libérés des tâches ingrates et répétitives, leur permettant ainsi de se consacrer aux loisirs, à la recherche du savoir et aux activités artistiques, selon leur bon vouloir.

La révolution nucléaire

Les progrès accomplis en physique théorique ouvrent la porte à tous les possibles, si bien qu’Albert Einstein déclare que la maîtrise de l’atome pourrait mener à une ère de paix sans précédent pour l’humanité. Lorsque l’atome est brisé en 1938, Einstein écrit une lettre qu’il envoie à F. D. Roosevelt dans laquelle il suggère, dans un avenir rapproché, l’utilisation de l’énergie atomique comme source d’énergie d’importance. Il ajoute :

"Ce nouveau phénomène pourrait également mener à la construction de bombes, et il est concevable, — mais beaucoup moins certain — que des bombes d’une puissance extrême d’une genre nouveau soient ainsi construites. Une seule de ces bombes, transportée à bord d’une navire que l’on fait exploser dans un port, pourrait entièrement détruire ce port ainsi que le territoire environnant."

Le projet Manhattan et le fluor

Une nouvelle menace, l’Allemagne nazie, pousse les alliés à la conception et à la fabrication de l’arme atomique. On voit alors naître aux États-Unis de gigantesques centres de recherche, des villes entièrement consacrées à la production de matériel nucléaire visant à activer les bombes atomiques du Projet Manhattan. Parmi les dizaines de milliers de travailleurs dans ces centres, un grand nombre d’entre eux sont atteints de malaises et de maux que les scientifiques s’efforcent dès lors d’étudier. On croit d’abord faire face à un problème causé exclusivement par la radiation, mais on réalise par la suite qu’un autre élément, le fluor, un sous-produit de l’enrichissement de l’uranium, est lui aussi largement responsable des problèmes de santé des travailleurs.

On sait aujourd’hui, grâce à la divulgation de documents classés secret[1] rendus publics grâce à loi sur l’accès à l’information, que l’on a caché les effets toxiques des fluorures, pour éviter les poursuites et pour mener à terme les recherches destinées à créer la bombe atomique. Ces documents révèlent qu’un ardent promoteur de la fluoration de l’eau, le Dr. Hodge, un scientifique travaillant à la solde du Département de l’énergie atomique des États-Unis, avait des liens avec les services de santé dentaire des État-Unis. Nous savons maintenant que ce même Dr. Hodge a aussi pris part à des expériences portant sur les effets des radiations chez des sujets à qui l’on avait injecté du plutonium radioactif, à leur insu. Effort de guerre oblige… C’est le Dr. Gerald J. Cox, biochimiste de l’institut Mellon, lié à l’industrie de l’aluminium, qui est chargé de trouver la solution finale. En 1939, dans un rapport interne, il soutient que : "L'opinion courante, qui tend à vouloir débarrasser l'eau complètement des fluorures doit être repensée".

Peu après, il suggère l’ajout du fluorure de sodium à l’eau potable dans le but de prévenir la carie dentaire. L’industrie atomique, de connivence avec le conglomérat de l’aluminium, parvient ainsi à régler son problème : on résout la pollution par la dilution. Dès lors un précédent est créé, car bien que le gouvernement interdise de déverser le fluorure dans les rivières, on permet que le fluorure, un déchet toxique, soit déversé dans l’eau potable!

D'Hiroshima à la guerre froide

Le 6 août 1945, l’explosion des bombes atomiques à Hiroshima et Nagasaki au Japon marque la fin de la Seconde Guerre mondiale et consacre définitivement le début de l’ère atomique. On estime que près de 215 000 personnes ont péri des effets directs des frappes ou des répercussions qui s’ensuivirent[2], la grande majorité d’entre elles étant des civils. On chiffre à près de 550 le nombre de décès redevables à la radioactivité au cours des trente années suivantes. Ce nombre ne tient pas compte du taux anormalement élevé de malformations congénitales ou de maladies non létales causées par les effets tératogènes de la radioactivité (radiations gamma et neutrons). Suite aux explosions, des pluies radioactives ont balayé ces régions, contaminant au passage les sols, les matériaux et les produits agricoles pendant des années.[3]

Dans les années cinquante, les essais nucléaires viennent changer radicalement la perception que l’on avait jusqu`à lors de l’énergie nucléaire. Les essais menés dans l’atoll des îles Bikini démontrent en effet que les bombes à hydrogène[4] sont en mesure de détruire et de contaminer des étendues bien plus vastes que ce qui avait été envisagé jusqu’alors. Les années d’après-guerre correspondent à une période de fortes tensions diplomatiques, la guerre froide, où l’on voit s’affronter les États-Unis et l’Union soviétiques ainsi que leurs alliés. Le champ de bataille est multiple: coalitions militaires, idéologie, psychologie, services de renseignement, industrie, technologie, conquête spatiale et course effrénée aux armements conventionnels et nucléaires[5]. L’équilibre entre ces deux blocs est maintenu par la dissuasion nucléaire, aucun d’entre eux ne pouvant sérieusement envisager de frapper l’ennemi sans risquer de déclencher une escalade nucléaire et l’anéantissement planétaire. Ainsi les avantages de la première frappe sont quasiment nuls.

Le moment culminant de la guerre froide survient suite à l’invasion ratée de la Baie des Cochons à Cuba par les forces américaines. En signe de représailles, Cuba s’allie à l’Union soviétique, qui ne tarde pas à déployer des missiles nucléaires offensifs sur le territoire de l’île. Le 16 octobre 1962, le président John F. Kennedy est informé de la situation et décide de placer Cuba en “quarantaine” afin de bloquer tout nouvel approvisionnement en provenance de l’Union soviétique. Khrushchev déclare la quarantaine illégale, mais propose ensuite aux États-Unis de démanteler les missiles; en échange ceux-ci doivent mettre fin à la quarantaine et promettre de ne pas envahir l’île. On assiste à une escalade des événements lorsque le 27 octobre un avion américain U-2 est abattu par un missile SAM cubain, sans l’accord de Khrushchev. Heureusement, Kennedy réagit rapidement en acceptant publiquement l’offre soviétique[6], ce qui a pour effet de dénouer le conflit. Jamais l’humanité n’avait frôlé de si près le déclenchement d’une guerre nucléaire. Le Secrétaire d’état, Dean Rusk commenta: "Nous nous regardions les yeux dans les yeux, mais l’autre ne fit que cligner des yeux."

Pollution radioactive

L’ère nucléaire est marquée par de nombreux accidents nucléaires. Le plus connu d’entre eux survient en 1986, lorsque l'explosion du réacteur 4 de la centrale nucléaire de Tchernobyl en Union soviétique contamine un territoire d'environ 320 000 km en Ukraine, Biélorussie et Russie, où près de quatre millions de personnes vivent toujours et où l’on constate aujourd’hui une épidémie de cancers de la thyroïde et de leucémie chez les enfants et les jeunes adultes. Le nombre de morts pourrait s’élever à 500 000 en raison des radiations. Les vents radioactifs se propagent d’abord vers l’ouest, contaminant au passage l’Allemagne et la France[7], puis font le tour du monde.

Le taux total de radiations émises depuis le début de l’ère atomique est difficile à évaluer. Depuis 1945, au moins 2069 essais nucléaires connus ont été menés par les puissances nucléaires, dont 1032 par les États-Unis, 715 par l’Union soviétique, 210 par la France et 45 par l’Angleterre et la Chine. On estime que durant la guerre froide, les États-Unis ont perdu en moyenne une bombe atomique par année, la plupart du temps au-dessus des océans. Ces bombes n’ont pratiquement jamais été repêchées et il est possible qu’elles soient à l’origine d’une contamination radioactive des océans dont on ne connaîtra les effets que dans les années à venir[8][9]. On estime que la contamination totale dans l’atmosphère pourrait atteindre l’équivalent de 40 000 bombes d’Hiroshima.

Suite à l’effondrement du bloc soviétique, un vent d’optimisme souffle sur le globe, alors que l’on espère finalement voir le démantèlement des principaux arsenaux nucléaires. À la fin du vingtième siècle, près de 16% de l’électricité générée mondialement provient de centrales nucléaires[10]. Bien que l’énergie nucléaire comporte de réels avantages, elle génère constamment des déchets radioactifs dont la destruction, l’entreposage et le recyclage sécuritaire posent de sérieux problèmes. Les nombreuses fuites et contaminations en sont la preuve évidente[11]. Plusieurs stratégies ont été envisagées, mais il n’existe encore aucune solution sensée, satisfaisante et durable. Si bien que, si l’on veut agir de manière responsable, on doit reconsidérer la viabilité des centrales nucléaires.

Aperçu de la situation au vingt-et-unième siècle

"La libération de la puissance de l’atome a tout changé, à l’exception de nos modes de pensée, ainsi nous errons vers une catastrophe sans commune mesure." Albert Einstein

Au début du XXIième siècle, l’attaque terroriste contre le Word Trade Center en 2001 et la nouvelle guerre perpétuelle contre le terrorisme qui s’ensuit viennent totalement changer la donne. Les nouvelles politiques américaines de frappe préventive et d’emploi tactique des armes nucléaires viennent en effet briser le tabou de l’utilisation des armes nucléaires qui existait, de par le concept de dissuasion nucléaire, depuis la Deuxième Guerre mondiale[12]. La nouvelle politique américaine qui exige plus de flexibilité stipule que “les forces militaires américaines, incluant l’arsenal nucléaire, seront désormais utilisés pour ‘dissuader les adversaires qui désirent entreprendre des programmes militaires ou des opérations pouvant menacer les intérêts états-uniens...’"[13]. Ces nouvelles tangentes sont en accord avec le Projet pour un nouveau siècle américain[14], un groupe de réflexion américain fort influent qui propose le déploiement de nouvelles stratégies d’une envergure sans précédant (incluant une nouvelle US Space Forces) visant à assurer la domination et la suprématie américaine, de manière absolue et finale, pour le siècle qui point. C’est la Pax Americana.

Cette domination serait entre autre chose[15] rendu possible par l’utilisation de nouvelles armes nucléaires non conventionnelles, de puissance moindre et dont les effets sont contrôlés.[16] Il s’agit des mini-nukes et des micro-nukes, ces mini-bombes nucléaires qui auraient fait l’objet de recherches secrètes dès les années 1970. On aurait mis au point des minuscules bombes à hydrogènes de quatrième génération[17] utilisant le tritium (ou le lithium) à la place du plutonium et de l’uranium[18]. Ces bombes exotiques, beaucoup moins polluantes, dégageraient une grande quantité de chaleur à énergie dirigée[19], avec seulement le millième des radiations. Bien que théoriquement idéales pour l’attaque des bunkers sous-terrains, ce type d'arme suscite la crainte de voir se banaliser l'utilisation d'armes nucléaires dans de futurs conflits.

Pax Atomica

Selon l’avis de certains, l’invasion américaine de l’Irak de mars 2003, sous prétexte de possession d’armes de destruction massives par les Irakiens, est la première étape du plan de domination planétaire américain. On estime à 100 000 le nombre d’Irakiens qui sont morts depuis, en raison de l’intervention militaire en Irak, mais également des effets de la résolution 661 des Nations-Unies du 6 août 1990 contre l’Irak, qui ironiquement a été signée le même jour que l’attaque contre Hiroshima, vous comprendrez ensuite pourquoi.

Mais il y a aussi eu d’autres victimes. Depuis le début des hostilités, des milliers de soldats américains se plaignent d’un mal inconnu, qui a depuis fait les manchettes sous le vocable de Syndrome de la Guerre du Golfe (SGG). Selon les gouvernements américain et britannique, le SGG n’existe tout simplement pas[20]. Par contre, des experts[21] estiment désormais que ce syndrome, qui s’accompagne d’une longue liste de problèmes de santé, est un mal dont les racines sont largement neurologiques et dont les causes sont multiples. On a tout d’abord pointé du doigt les émanations des puits de pétrole et puis celles des gaz sarin et cyclosarin (deux gaz mortels fluorés) auxquels les soldats ont été exposés en Irak. On a ensuite parlé de maladies infectieuses, de vaccins expérimentaux, puis finalement de l’uranium appauvri[22]. De son côté, le gouvernement américain, qui a effectué des tests, affirme que l’uranium appauvri est sans danger[23],[24]. Mais les tests sur les soldats, en particulier sur ceux qui affirment souffrir du SGG, sont rarement effectués[25]. Impossible de trouver si l’on ne cherche pas.

Selon le capitaine Joyce Raily[26], des 877 000 soldats qui ont pris part à la première guerre du Golfe, 50% sont tombé malades et ne sont plus en service. Selon le Dr. Moret[27], 11 000 soldats sont mort de maladies chroniques suite à l’exercice de leur fonction, 240 000 sont invalides et 67% de leurs enfants sont gravement malades ou sont nés atteints d’anomalies congénitales sérieuses. Chez les Irakiens, on ne compte plus le nombre d’enfants nés avec de graves difformités, sans yeux, sans oreilles, sans cerveau ou sans organes internes.

L’uranium appauvri, cheval de Troie de la guerre nucléaire.

L’uranium appauvri (UA)[28] est un sous-produit de l’enrichissement de l'uranium. Son appellation est trompeuse, car en apparence inoffensif, il contient une bonne part de neptunium, de plutonium et d’uranium-236 radioactifs. Le plutonium et l’U236 n’existent pas naturellement, ils sont issus des processus artificiels naissant au cœur des réacteurs nucléaires. Extrêmement dense, lourd et à grande capacité pénétrante, l’UA est un matériau de choix pour la fabrication de balles, munitions, obus, avions, têtes de missiles (Cruise, Tomahawk) et de bombes. Il permet la fabrication d’excellentes armes anti-char d'assaut. Il est aussi utilisé dans une série d’alliages blindés pour les chars (Abram), les hélicoptères de combat (Appache), etc. Déchet de l’industrie nucléaire, c’est un matériau bon marché et disponible en grande quantité[29].

On sait que l’UA a été considéré pour les applications militaires depuis au moins 1943. Les effets radioactifs de ce type d’arme sont discutés dans un mémo interne de l’US Atomic Energy dès 1947[30]: “Il est souhaitable qu’aucun document se référant aux expérimentations sur des sujets humains ne soit divulgué, car ceci aurait des répercussions négatives sur l‘opinion publique et pourrait résulter en poursuites. Les documents à cet effet doivent être classés secret“.

Avant 1991, personne n’avait osé utiliser l’UA lors de conflits. Les États-Unis brisèrent ce tabou en 1991 en Irak et au Koweit. Depuis, ils ont continué à l’utiliser en Bosnie en 1994-1995; au Kosovo, en Serbie et au Montenegro en 1999 ; en Afghanistan en 2001; et en Irak en 2003[31]. L’Angleterre et Israël l’utilisent également, et au moins 29 pays ont acheté de telles armes.

L’arme à UA doit sa grande capacité pénétrante non seulement à sa masse, mais aussi à la haute température initiée par frottement lorsque la salve est tirée. Étonnamment, la nature pyrophorique de l’UA en fait un excellent gaz radioactif de combat. Au moment de l’impact, 100% de l’UA des bombes et des missiles est instantanément sublimé et libéré dans l’atmosphère sous forme de gaz aérosol et de nano-particules (moins de 5 µ), ce qui représente jusqu’à 1.5 tonnes dans le cas des grosses bombes. Ces gaz radioactifs peuvent ensuite être respirés par les soldats amis ou ennemis, ou par n’importe quel civil se trouvant sur le trajet des particules radioactives portées par le vent. Dans les balles et obus, de 40 à 70 % de l’UA est sublimé, le reste se brise en éclats et poussières radioactives qui contaminent l’eau et le sol pour de très longues périodes, soit durant plus de 4.5 milliards d’années[32]. Il n’existe aucune méthode connue qui permette la décontamination des zones irradiées. Durant toute la période de décroissance radioactive de l’uranium-238, des radiations sont émises en permanence. Toute guerre utilisant les armes à UA est donc une guerre nucléaire à faible intensité[33] utilisant des bombes sales[34]. L’UA n’est rien d’autre qu’une arme de destruction massive et d’emploi aveugle[35].

Les effets radioactifs internes de l’UA sont connus depuis longtemps. Un mémo secret de 1943 du projet Manhattan énonce[36]:

"En tant que gaz de guerre, ce matériau serait brisé en particules microscopiques pour former de la poussière et de la fumée distribuée par projectile tiré à partir du sol … et serait inhalé sous cette forme par le personnel. La quantité mortelle par inhalation est extrêmement petite. Aucun traitement n’est connu … Le matériau radioactif serait déposé sur le sol … Les zones ainsi contaminées … seraient dangereuses jusqu’à la fin de la période de décroissance radioactive … Les réservoirs et les puits seraient empoisonnés, avec un effet semblable à la contamination par inhalation de poussière ou de fumée ... En toute probabilité, les particules de moins de 1µ [micron] se déposeraient dans les alvéoles où elles resteraient indéfiniment ou seraient absorbées dans la lymphe ou le sang… pour être ensuite distribuées partout dans le corps."

En plus de tous les symptômes causés par l’émission lente et prolongée de radiations[37], dont des dommages à l’ADN[38], l’UA inhibe les fonctions métaboliques des phosphates et affecte les enzymes cytochromes P450, qui jouent un rôle majeur dans le processus d’élimination des substances étrangères à l’organisme et donc dans la protection de l’organisme contre les agressions extérieures. L’UA cause des cancers, l’insuffisance rénale, des dommages neurologiques, des anomalies congénitales, etc. En fait, aucun niveau de radiation, aussi faible soit-il, ne peut être considéré sécuritaire.

Contamination planétaire

Les vents et les gaz radioactifs ne reconnaissent pas les frontières géopolitiques. Après que les nano-particules d’UA aient été libérées dans l’atmosphère, elles restent en suspension et sont transportées par les vents sur de très grandes distances. De fait, rien ne les empêche de voyager autour de la terre un grand nombre de fois. Ces particules sont ensuite retrouvées dans la pluie, la neige, et contaminent l’environnement pendant des milliards d’années. Elles continuent à tuer, s’infiltrent dans la chaîne alimentaire et affectent la faune et la flore, sans aucune discrimination.

Selon les divers estimés, de 325 à 900 tonnes d’UA ont été libérées dans l’atmosphère durant la guerre du Golfe de 1991. En Afghanistan, de 800 à 1000 tonnes ont été libérées en 2001. La guerre du Golfe de 2003 aurait libéré près 2200 tonnes d’UA dans l’atmosphère. Bref, depuis 1991, le taux de radioactivité libérée dans l’atmosphère par l’UA équivaut à plusieurs fois la quantité totale libérée par tous les tests nucléaires combinés depuis le début de l’ère atomique. Le Dr. Yagasaki estime que la contamination totale dans l’atmosphère pourrait atteindre l’équivalent de 400 000 bombes d’Hiroshima[39]. Quant au nombre de cancers causés par ces radiations en Irak, en Afghanistan et ailleurs dans le monde, les experts se contredisent, mais les estimés varient de 500 000 à 22 millions de victimes d’ici 2050[40].

En 2006, deux scientifiques britanniques[41] ont examiné les données recueillies en Angleterre par des filtres d’échantillonnage d’air lors de l’attaque anglo-américaine contre l’Irak en 2003. Les données enregistrées dans chacun des filtres indiquaient une augmentation statistiquement significative de la quantité d’uranium, débutant au commencement de la deuxième guerre en Irak et se terminant à la fin de la guerre. Les lectures avaient dépassé par deux fois le seuil de 1000nBq/m3 établi par l’Agence environnementale britannique. Dans une deuxième étape, les scientifiques ont examiné les conditions météorologiques pour déterminer si ces dernières étaient favorables au transport des particules radioactives vers l’Angleterre. Ils ont pu démontrer que, durant la même période, un courant d’air constant en provenance de l’Irak se dirigeait vers le nord, au moment exact où l’Angleterre se trouvait au centre d’un anticyclone aspirant des masses d’air venant du sud et du sud-ouest. Selon leurs calculs, l’augmentation moyenne d’uranium dans l’air de près de 500nBq/m3 en Angleterre signifie que, durant cette période, chaque citoyen britannique a respiré quelque 23 millions de particules d’uranium d’un diamètre inférieur à 0.25 microns. Cette étude est la première à clairement démontrer que l’uranium appauvri peut être transporté à des milliers de km de son point d’émission, souvent par l’entremise de tempêtes de sable et du courant-jet, soit le courant d’air atmosphérique qui ceinture la terre en haute altitude.

Les conséquences globales de la contamination radioactive par l’uranium appauvri sont tout simplement renversantes. Aucun recoin de la planète n’est à l’abri, il n’y a nulle part où se cacher, nous respirons tous le même air. Les répercussions pourraient se chiffrer en millions de victimes de tous âges, dans tous les pays et pour des siècles à venir. Pour le Dr. Rosalie Bertell[42], cette gigantesque attaque contre toutes les formes de vie ne peut être qualifiée que d’omnicide.

Pour couronner le tout

Au taux sans cesse croissant de radioactivité libéré dans l’atmosphère par les tests nucléaires et par l’uranium appauvri issu des zones de conflit sur la planète, s’ajoutera bientôt une nouvelle source de radiation. Depuis quelques années, l’industrie nucléaire fait pression sur le gouvernement américain afin qu’on lui permette de se débarrasser facilement et rapidement des immenses quantités de déchets nucléaires qu’elle n’a pas su détruire ou recycler de manière sécuritaire. La nouvelle stratégie de l’industrie consistera à faire adopter une loi permettant le recyclage des déchets radioactifs à même les biens de consommation courants et dans les matériaux de construction. Le projet de loi a déjà été proposé en 1998, mais a été retardé en raison des pressions émanant du public. Si tout va bien pour l’industrie, la nouvelle loi pourrait être adoptée d’ici 2008[43]. Les consommateurs seront alors constamment exposés à d’innombrables sources invisibles de radiations à faible puissance, selon les caprices de l’industrie. Au cours des années 1980, on avait déjà procédé à l’ajout de faibles quantités de matériel radioactif dans certains amalgames dentaires, mais le processus avait été aboli en raison des « préoccupations sanitaires ». Mais voilà que cette étonnante avancée technologique est sur le point d’être réhabilitée. Ainsi l’industrie atomique aura finalement « résolu » son problème de pollution par la dilution. On peut certes questionner l’éthique d’une telle pratique… Un tel raisonnement fait de toute évidence partie du problème, pas de la solution.

Finalement, Rabelais avait à demi raison : « Science sans conscience n’est que ruine de »… l’homme.



[1] Bryson, C. The fluoride deception. Sven stories press, 2004.

[2] Hiroshima Peace Memorial Museum. The Spirit of Hiroshima: An Introduction to the Atomic Bomb, Tragedy. Hiroshima: Hiroshima Peace Memorial Museum, 1999.

[3] UNSCEAR, Sources and Effects of Ionizing Radiation, 1977 and 1994.

[4] Une bombe à hydrogène (H) utilise la fusion nucléaire et peut être des milliers de fois plus puissante qu’une bombe atomique (A) utilisant la fusion nucléaire.

[5] Halliday, F. "Cold War" The Oxford Companion to the Politics of the World, 2e. Joel Krieger, ed. Oxford University Press Inc. 2001.

[6] Une deuxième demande soviétique exigeait le retrait des missiles américains du territoire turc. Kennedy accepta, mais l’accord ne fut pas rendu publique.

[7] Jean-Michel Jacquemin-Raffestin, Tchernobyl : Cachez ce nuage que je ne saurais voir, Éditeur Guy Trédaniel, 2006. Voir aussi ONU ignore 500 000 morts à Chernobyl : www.mondialisation.ca/index.php?context=viewArticle&code=VID20061107&articleId=3751

[8] Articles, parus dans le Journal de Québec, 28 janvier 1997 et 9 octobre 2006.

[9] Les accidents nucléaires militaires. De l'irresponsabilité des nations : http://www.astrosurf.com/luxorion/accidents-nucleaires-militaires.htm

[10] Edward Pochin, Nuclear Radiation: Risks and Benefits, Clarendon Press Oxford, 1983.

[11] Exploitation civile de l'énergie nucléaire, Liste des incidents, accidents et délits : http://www.astrosurf.com/luxorion/nucleaire-liste-incident-accident-delits.htm

[12] Du fait de leur exceptionnel pouvoir létal en une seule frappe, les armes nucléaires sont utilisées avant tout comme des armes de pression politique et de dissuasion.

[13] Nuclear Posture Review, Submitted to U.S Congress on 31 December 2001.

[14] Rebuilding America’s Defense. A report of The Project for a new American century, 2000.

[15] Nous ne discutons pas ici des nouvelles armes dites non-létales, pouvant être le sujet d’articles complets.

[16] Pour les tenants de la nouvelle guerre nucléaire, la puissance moindre et les effets contrôlés des mini-bombes nucléaires rendent légitime leur utilisation.

[17] Gsponer, A.. Fourth Generation Nuclear Weapons: Military effectiveness and collateral effects. Independent Scientific Research Institute, Switzerland, 2001.

[18] Une bombe atomique émet l’énergie sous forme de: 50% de souffle, 35% d’émissions thermiques, 5% de radiations initiales, 10% de radiations résiduelles.

[19] Théoriquement, une bombe à hydrogène émet l’énergie sous forme de : 80% de neutrons et d’énergie thermique, 15% de souffle, 5% de radiations.

[20] Gulf War and Health: Volume 4. Health Effects of Serving in the Gulf War, Committee on Gulf War and Health: A Review of the Medical Literature Relative to the Gulf War Veterans' Health., The National Academies Press, Washington, D.C., 2006.

[21] Scientific Progress in Understanding Gulf War Veterans’ Illnesses: Report and Recommendations, Research Advisory Committee on Gulf War Veterans' Illnesses, September 2004.

[22] Institute of Medicine. Gulf War and Health: Volume 1 - Depleted Uranium, Pyridostigmine Bromide, Sarin, Vaccines. Washington, DC: National Academy Press; 2000.

[23] U.S. DOD releases report on Depleted Uranium Aerosol Doses and Risks, DoD release Oct. 19, 2004.

[24] U.S. DOD Transcript of March 14, 2003, Briefing.

[25] Summary of Government Data on Testing of Veterans for Depleted Uranium Exposure During Service in Iraq, by Dan Fahey, 10, February 2005

[26] Beyond treason. Film écrit et produit par William Lewis et Joyce Riley, 2005.

[27] Moret, L. Testimony for the International Criminal Tribunal for Afghanistan, Dec. 13-14, 2003, Tokyo.

[28] L’uranium appauvri est parfois dénommé ‘métal dense’.

[29] Dai Williams, Depleted Uranium weapons in 2001-2002: Occupational, public and environmental health issues - Mystery Metal Nightmare in Afghanistan, 2002.

[30] Colonel O.G. Haywood, secret 1947 memorandum from the U.S. Atomic Energy Commission.

[31] Dan Fahey , The Emergence and Decline of the Debate Over Depleted Uranium Munitions 1991-2004, 2004.

[32] La demi-vie de l’uranium 238 est de 4.5 milliards d’années, soit l’âge de la terre.

[33] Leuren Moret , The Trojan Horse of Nuclear War, Global Research, July 8, 2004

[34] On dénomme ‘bombe sale’ une bombe à fortes retombées radioactives.

[35] Les armes d’emploi aveugle sont celles qui frappent sans discrimination aucune, civils inclus.

[36] Declassified memo, Subcommittee of the S-1 Executive Committee on the Use of Radioactive Materials as a Military Weapon to General Leslie R. Groves, dated October 30, 1943, Manhattan Project.

[37] Le taux de diabète est l’un des premiers signes à surveiller en cas de contamination radioactive. On considère maintenant que cette maladie est ‘’la plus grave épidémie de notre société’’, avec 550 000 personnes (8% de la population) atteintes au Québec (Source : Le Journal de Québec, 13 octobre 2006). De plus, les recherches du Dr. Dosch de Toronto suggèrent maintenant que le diabète est lié à des problèmes neurologiques, ce qui n’est pas sans rappeler les problèmes de même nature du syndrome de la Guerre du golfe.

[38] H. Schröder, A. Heimers, R. Frentzel-Beyme, A. Schott, W. Hoffmann. Chromosome aberration analysis in peripheral lymphocytes of Gulf war and Balkans war veterans. Radiation Protection Dosimetry vol. 103 no. 3, pp 211-220 (2003).

[39] Dr. Yagasaki. Discour sur l’uranium appauvri donné à l’Université de Ryukyus en 2000, Okinawa, Japon.

[40] Idem 33.

[41] Busby C., Morgan, S.. Did the use of Uranium weapons in Gulf War 2 result in contamination of Europe? Evidence from the measurements of the Atomic Weapons Establishment, Aldermaston, Berkshire, UK, 2006.

[42] Experte internationale siégeant sur le CERI (Comité Européen sur le Risque de l’Irradiation).

[43] Communications personnelles de l’auteur avec M. Boyd, directrice du Public Citizen’s Energy Program.





D'Hiroshima à Bagdad, 61 ans de Guerres à l'Uranium
par le Dr. Lauren Mauret

Cet article a été publié dans l'édition papier du Bay View du 27 décembre 2006 jusqu'au 14 février 2007, et dans sa totalité sur www.sfbaywiew.com. Article partiellement traduit par Mireille Delamarre pour www.planetenonviolence.org.

« La pollution atmosphérique mondiale créée par les particules d'uranium appauvri résultera en une dépopulation
massive à l'échelle mondiale. En accroissant la mortalité et en diminuant la natalité mondialement, plus de 2 milliards de personnes seront éliminées. » Dr. L. Mauret

La conduite de guerres nucléaires secrètes depuis 1991 par les Etats-Unis, la Grande Bretagne et leurs alliés, en utilisant des armes à l'Uranium Appauvri, ont eu lieu au Moyen Orient, dans l'ancienne Yougoslavie, l'Afghanistan (2) et le Liban (3). Cela a été mené intentionnellement avec le but de détruire la santé publique et mutiler le futur génétique de vastes populations dans des régions riches en pétrole et ou pipelines.

Un quadrillage de tapis de bombes avec des armes à l'UA en Irak, Yougoslavie et Afghanistan garantit une contamination permanente radioactive du terrain. La découverte récente que les bombes US larguées par Israël sur le Liban en 2006 contenaient de l'uranium enrichi (4, 5) suggère que des tests clandestins d'armes nucléaires de 4 ème génération ont lieu.

Les Etats-Unis et ses alliés sont parfaitement conscients que ces armes violent les Conventions de Genève et de la Hayes et le Protocole de Genève de 1925 sur les gaz toxiques. (6). Cela correspond à la définition des ADM dans le Code US (7) en ce qui concerne deux des trois catégories. Et leur utilisation viole la loi militaire des Etats-Unis (8). L'US est signataire des Conventions de Genève et de la Hayes.

Le projet d'armes au gaz toxique à l'uranium radioactif - bombes sales, missiles sales et balles sales – était contenu dans des mémos déclassifiés datant d'octobre 1943. Il était adressé au Général Leslie Groves, qui était à la tête du Projet Manhattan, portant sur les efforts US pour construire des bombes atomiques pendant la Seconde Guerre Mondiale.

La recommandation pour développer l'uranium appauvri comme pénétrant à énergie cinétique n'a jamais été mentionné dans le mémo Groves. Il était spécifiquement pour la dépopulation.

Le mémo Groves expose clairement qu'en 1943 les scientifiques US ont recommandé l'utilisation d'armes à gaz toxique radioactif pour contaminer l'air, l'eau, le sol, la nourriture, l'environnement et le sang des populations exposées. La contamination à long terme est permanente, car l'uranium -238 a une demi vie de 4,5 milliards d'années, rendant les zones contaminées inhabitables pour l'éternité.

Pour les populations qui doivent continuer à vivre dans les zones contaminées, les effets à long terme sont des maladies persistantes et des mutilations de leur ADN. Une large contamination à l'UA de l'ADN des populations résulte dans une mutilation des générations futures. Les mutilations produites dans l'ADN d'un seul ovule ou spermatozoïde qui forment l'œuf fertilisé s'exprime et se répète dans chaque cellule de l'organisme en développement, et les malformations sont transmises aux générations futures. (11).

Non seulement les soldats US et alliés sont exposés et les populations civiles cibles d'un génocide, mais la pollution à l'UA est maintenant mondiale. (12,13). Nous sommes tous des vétérans de la Guerre du Golfe.

Les armes au gaz toxique d'uranium appauvri, utilisé à l'échelon régional, est conforme aux objectifs du Conseil de Sécurité Nationale des US comme cela est stipulé dans le «Global 2000 Report: Vision of a Gloomy World” (1980) ( Rapport Mondial 2000 : Vision d'un Monde Sombre). (14) Ce rapport recommandait que la dépopulation des pays du Tiers Monde était impérative pour l'objectif du gouvernement US de sécuriser les ressources en minerais et autres ressources stratégiques.

La pollution atmosphérique mondiale par des particules d'uranium résultera en une massive dépopulation à l'échelle mondiale. En accroissant la mortalité et en diminuant la natalité mondialement, plus de 2 milliards de personnes seront éliminées.

L'Uranium Appauvri est l'arme idéale pour mettre en place le Nouvel Ordre Mondial, qui s'appuie sur une dépopulation mondiale. En quelques années seulement il a transformé la Planète Terre en une Etoile de Mort.


Dépopulation et accumulation du capital


Ce qui suit est la thèse exprimant la politique de dépopulation contenue dans ce document : dépopulation intentionnelle et génocide de masse sont au cœur des politiques à partir desquelles les élites dirigeantes conduisent les relations internationales, l'aide au développement économique, le développement d'armes stratégiques et la conception de guerres manigancées.

Le but opérationnel de cette dépopulation intentionnelle c'est la réduction de la population humaine. Avec l'approbation de la présidence, l'ancien secrétaire d'état US Henri Kissinger a présenté le chiffre de 2 milliards comme le niveau souhaité de réduction, mais, en fait, la politique de dépopulation pourrait viser 2 à 4 milliards de réduction, ou jusqu'à 2/3 de la population mondiale.

En instaurant cette politique de dépopulation, l'élite mondiale dirigeante vise le contrôle des ressources en minerais et ressources stratégiques et de l'eau et le contrôle total de la richesse mondiale. L'un des épithètes politique utilisé le plus communément pour cette politique de dépopulation c'est « Le Nouvel Ordre Economique Mondial. »

« Toute guerre à une origine économique » a dit Bernard Baruch, conseiller des présidents pendant la première et seconde guerre mondiale.

Même les croisades du 13 ème siècle au Moyen Orient n'étaient pas des guerres religieuses, mais une tentative de certains intérêts en Europe pour re stabiliser et prendre le contrôle des richesses et revenus de la Route de la Soie (15). La Théologie a été créée pour éliminer «les ennemis de Dieu» pour promouvoir et justifier les guerres des Croisades, qui ont été combattues pour un bénéfice économique dissimulé. L'histoire au Moyen Orient se répète au 21 ème siècle.

La politique de dépopulation du Nouvel Ordre Mondial a été consciemment accélérée pendant la seconde guerre mondiale avec le Projet Manhattan. Pendant la seconde guerre mondiale le Projet Manhattan a développé 3 armes infâmes de destruction massive illégales: les bombes atomiques larguées sur les populations civiles d'Hiroshima et Nagazaki en 1945 ; un défoliant développé comme Agent Orange pour la guerre du Vietnam, et le gaz toxique à l'uranium appauvri radioactif utilisé depuis 1991 en Irak, Yougoslavie, Afghanistan et au Liban. Ces armes de destruction massive ont été développées spécifiquement avec comme but la dépopulation.

Apres la seconde guerre mondiale l'élite internationale dirigeante - - Les Illumini, La Puissance d'Argent de Londres, le Groupe Bildenberg, le Club de Rome, et Skull and Bones - - et les US, le Conseil au Relations Etrangères, la Commission Trilatérale, le Conseil National de Sécurité et le Département d'Etat US ont tous fait de la dépopulation de 2 milliards de personnes leur objectif premier. Le but de ce génocide humain de masse c'est de maximaliser les profits et l'accumulation des richesses.


Dépopulation en Afrique

La politique de dépopulation a ciblé l'Afrique plus lourdement qu'aucun autre continent et a eu comme résultat d'avoir des élites dirigeantes pillant les vastes ressources naturelles. C'est une « boîte au trésor » de minerais et de métaux précieux rares et stratégiques, avec une diversité de ressources plus importante qu'aucun autre continent.

Dans le livre, “Tiny Rowland: The Ugly Face of Neocolonialism in Africa,” (16) on trouve des détails sur le rôle joué par Tiny Rowland comme agent de sa majesté britannique pour convertir les rêves d'indépendance des nations africaines en cauchemar d'un continent qui se meurt, en proie à la famine et les maladies. Rowland était le président d'administration et architecte en chef de Lonrho la multinationale britannique quartier général pour le pillage des pays africains via la pratique de sales tours économiques.

Avec Lonrho, Rowland est devenu le plus grand homme d'affaires occidental en Afrique. Le livre détaille également comment Rowland a crée Rio Tinto Mines pour des holdings d'uranium privés et personnels énormes valant plus 6 milliards de dollars, de la reine d'Angleterre dans les anciennes colonies britanniques. Pas mal pour un ancien membre des jeunesses nazies qui a été condamnée comme criminel en Allemagne avant de changer son nom, déménager en Angleterre et devenir le pirate de la reine.

La thèse de la politique de dépopulation s'étend à la collaboration internationale, aux alliances entre organisations privées, universités, multinationales, l'armée et pratiquement toutes les institutions gouvernementales. Le concept pour le SIDA, une nouvelle classe d'arme biologique, est venu du Club de Rome et a été fabriqué dans des laboratoires du Département de la Défense.

Le virus du SIDA a été l'une des armes biologiques « exotique » développées. Elle a été développée et administrée par l'OMS et le Département de la Défense US (DoD). Le Congrès a financé le développement du projet du virus du SIDA, utilisé pour la dépopulation de l'Afrique combiné à la famine, deux manières connues pour accroître rapidement le taux de mortalité.


Le rôle des universités


Des universités ont joué un rôle majeur dans le développement d'armes de destruction massive et l'application des politiques de dépopulation. Des bourses du DoD jouent un rôle important, croissant, dans le financement de la recherche scientifique aux US.

En plus de diriger les laboratoires d'armes nucléaires, UC Berkeley a commencé la recherche financée par le DoD pour développer « des insectes robots volants pour espionner », de la « poussière futée » et d'autres projets qui ont été mis en œuvre suite aux évènements du 11 septembre 2001. Ce n'est rien comparé à l'Université John Hopkins, la seule plus grande université bénéficiant de financement du DoD aux US, qui reçoit près de 350 millions de dollars par an. (17) L'Université John Opkins et le Laboratoire National Laurence Berkeley, où le Projet Manhattan a fait ses débuts pendant la seconde guerre mondiale, ont été toutes deux impliquées dans la recherche d'un autre aspect de la politique de dépopulation des US, le « projet sur le génome ».

Le projet sur le génome est un programme scientifique presque achevé pour cartographier le génome humain. La cartographie du génome humain et le développement de nouvelles armes biologiques marchent main dans la main. Secrètement, et en violation du droit international, des armes biologiques exotiques ont fait l'objet de développement intensif dans plus de 10 laboratoires gouvernementaux et militaires aux US pendant ces dernières décennies.

Le développement d'armes biologiques et l'extension des laboratoires se sont intensifiés après 2000, sous le secrétaire à la défense Donald Rumsfeld, à des niveaux sans précédent (18) Leur financement est lié à leur efficacité, ce qui n'est pas étonnant de la part de Rumsfeld connu pour son avarice, mais cela n'est pas une nouveauté. Dans un interview en 1948, entre Heinrich Mueller l'ancien dirigeant de la Gestapo, et son interrogateur de la CIA, Mueller a exprimé le même souci lié à l'avarice caractéristique des fascistes.

« Si Staline envahit l'Europe…une petite maladie par ci par là détruirait les hordes de Staline et laisserait tout intact. Mis à part cela, une petite bouteille de germes est tellement plus économique qu'une bombe atomique, n'est ce pas ? Ainsi donc, vous pourriez tenir dans vos mains plus de soldats que Staline ne peut en commander et vous n‘aurez pas à les nourrir, les vêtir, ou leur fournir des munitions. D'un autre côté la menace de guerre… fait des miracles…pour l'économie. » (19)

Apparemment, la conception de nouvelles armes biologiques pour le DoD peut être dangereux pour la santé d'un scientifique. Plus de 50 scientifiques de renommée mondiale ont été assassinés depuis 2002 aux US et en Grande Bretagne. Presque tous étaient des microbiologistes travaillant sur des armes biologiques à spécificité ethnique (20, 21).

Tandis que les programmes de contrôle de la population ont échoué dans les pays du Tiers Monde, la politique étrangère US s'est révélée être clandestine et vicieuse. Après que les programmes de stérilisation et de contrôle des naissances aient échoué en Inde, elle est devenue la cible d'une forme mortelle et démoniaque de politique de dépopulation US - - impliquant à la fois armes biologiques et radiation.

Le SIDA s'est maintenant répandu dans la moitié sud de l'Inde. L'Uranium Appauvri s'envolant des hauteurs de l'Himalaya par-dessus le Pakistan, et les sables riches en pétrole du Rajasthan, Utar Pradesh et Gujarat sont entrain de contaminer la moitié nord de l'Inde et les sources himalayennes de neufs rivières majeures de l'Asie.


Guerres radioactives


Le quadrillage serré et les tapis de bombes à l'UA par l'armée US sur le côté est de l'Afghanistan commencé en 2001 sont la garantie d'une massive contamination des zones où les neiges éternelles des régions montagneuses fournissent l'eau pour le Pakistan et certaines parties de l'Inde. En contaminant des ressources d'eau vitales dans de vastes régions avec des agents contaminants radioactifs, une guerre secrète de basse intensité et invisible est menée contre l'Asie.

Des guerres radioactives avec radiation de basse intensité mutilera l'ADN de toutes les vies exposées. Ce n'est pas seulement une guerre contre les peuples, c'est une guerre contre l'environnement. Peu de ce qui est vivant n'échappera à l'empoisonnement lent radioactif qui mutile l'ADN et se transmet aux futures générations.

Des armes biologiques sont en cours de développement et testées pour le contrôle de la population. La stérilisation forcée comme moyen de contrôler la population a été clandestinement introduite dans les pays du Tiers Monde, où les femmes recevant des vaccins n'ont plus été capables de donner naissance à des nouveaux nés vivants après la vaccination. Cela a été rapporté dans un documentaire de la BBC sur des femmes aux Philippines et au Mexique qui ont été utilisées comme cobayes pour un nouveau vaccin de grossesse. (22)

Le vaccin HCG fait que le corps de la femme rejette de nouvelles grossesses. Des femmes noires ont été stérilisées sans le vouloir dans des hôpitaux d'Afrique du Sud avec le vaccin HCG. On leur a dit après la naissance du bébé qu'elles ne « pouvaient pas quitter l'hôpital tant qu'elle n‘auraient pas eu cette « injection ». » (23)

Des nouveaux nés noirs, nés de parents ayant le SIDA, on été vacciné avant de quitter l'hôpital en Afrique du Sud, et on a rapidement trouvé que les bébés avaient le SIDA. (24) Dans certaines tribus amérindiennes, jusqu'à 80 % des femmes sont stériles. Des cultures bios
pharmaceutiques représentent un désastre à venir. Le DC Ignacio Chapela a rapporté que du mais spermicide était testé par des multinationales pharmaceutiques au Mexique.

« Certains au Mexique s'inquiètent que le mais bio pharmaceutique pourrait polluer leurs champs de mais. Silvia Ribeiro, qui dirige le bureau du Groupe ETC dans la ville de Mexico a noté que la multinationale basée en Californie Epicyte pousse à la reproduction d'un mais spermicide pour utilisation comme contraceptif. « Le potentiel d'utilisation du mais spermicide comme arme biologique est très élevé » a-t-elle averti et « rappelle l'utilisation forcée des stérilisations contre les populations indigènes » (25)

Nous ne pouvons plus faire confiance aux éléments qui autrefois soutenaient la vie. Les armes biologiques de l'élite dirigeante sont dans l'air, la nourriture, dans les vaccins, les procédures médicales, l'eau potable, dans les sols et même dans nos corps pour être transmis aux générations futures. L'ironie dans ce plan démoniaque c'est que nous n'avons jamais été informés. La décision a été prise pour nous - - d'avoir à affronter un génocide et l'extinction de la natalité.


Energie Nucléaire


C'est en Europe, Amérique du Nord, Japon que sont concentrés le plus grand nombre de réacteurs nucléaires - - où sont situés les gouvernements les plus démocratiques dans le monde. Naturellement, des gouvernements démocratiques seraient les premières cibles d'une élite dirigeante pour former un gouvernement multinational mondial.

Pour cette raison, l'énergie nucléaire y a été développée par des forces cachées puissantes, malgré l'opposition largement répandue, et cela depuis longtemps, des citoyens de ces pays « démocratiques ». Le fait que l'énergie nucléaire soit la technologie énergétique la plus coûteuse - - sans solution pour les déchets radioactifs - - a été ignoré.

Les centrales nucléaires produisent les mêmes dérivés mortels de fission dans leurs émissions sur des périodes de mois et d'années, comparable a ce qui est produit par une bombe nucléaire au cours d'une nanoseconde. L'exposition chronique à des émissions de bas niveau de radiation émises par les usines de production d'électricité nucléaire peut être plus mortelle, de bien des façons, qu'une exposition sévère à l'explosion d'une bombe nucléaire.

Les productions immédiates de fission nucléaire de courte durée d'une demi vie consécutives à des tests dans l'atmosphère se dégradent dans l'atmosphère. Mais ces produits dangereux de fission nucléaire arrivent en zone habitée au bout de quelques heures après leur émission par les installations nucléaires. L'exposition chronique des populations ces dernières décennies a provoqué des souffrances non rapportées, des dommages en matière de santé publique, et le sacrifice de générations d'enfants - - le futur de nos pays.


Radiation


La radiation a un pouvoir muta génique très puissant, détruisant l'ADN et le futur génétique des individus et des populations exposées de façon chronique. Elle détruit aussi le fonctionnement du cerveau et est à l'origine de nombreuses maladies en lien avec les radiations.

Un haut taux d'infertilité, lié en particulier aux radiations augmente mondialement depuis 1945. Il y a 20 ans, à l'échelle mondiale, 80 % du sperme des hommes était normal et 20 % présentait des dommages au niveau de l'ADN. Aujourd'hui, c'est l'inverse, avec seulement 20 % du sperme normal et 80 % présentant un dommage de l'ADN. Le but du Nouvel Ordre Mondial c'est de réduire mondialement le taux de fertilité et augmenter celui de la mortalité.

Le DC Ernest Sternglass et le Projet pour la Radiation et la Santé Publique, (26) ont rassemblé indépendamment 6000 dents d'enfants en bas âge vivant autour de centrales nucléaires. Ils ont trouvé que les taux de radiation au Strontium -90 sont aussi élevés ou plus élevés actuellement que ceux lors de tests atmosphériques.

Le DC Sternglass à qui le président Kennedy avait demandé de témoigner au Congrès sur le lien entre les radiations des retombées et les cancers chez les enfants, avait aidé à convaincre le Sénat de signer le traité d'interdiction partielle des essais nucléaires en 1963. Il a déclaré récemment que « ce que nous avons fait c'est de remplacer les retombées des tests des bombes par de soi disantes petites émissions autorisées émanant de centrales nucléaires (27).

Sur le plan intérieur, le programme du gouvernement US pour promouvoir l'énergie nucléaire « trop bon marché pour s'en affranchir » sous la présidence d'Eisenhower avait un agenda militaire caché comme seule source connue de plutonium pour des armes nucléaires. En lien avec la politique de dépopulation des élites dirigeantes, de génocide intentionnel et de profits maximums, le programme nucléaire a été utilisé comme une arme secrète et stratégique et comme une forme extrêmement mortelle de guerre nucléaire manigancée.

La Russie et le Japon se distinguent maintenant dans le monde par un taux de natalité inférieur au taux de mortalité. Est-ce que les radiations dans ces pays ont quelque chose à voir avec la distinction d'avoir atteint le but ultime du Nouvel Ordre Mondial ?

L'accident de Tchernobyl, le 26 avril 1986 libérant dans l'atmosphère d'énormes quantités de produits de fission a contribué à la chute de l'Union Soviétique. Les radiations ont voyagé autour du monde provoquant des cancers du sein liés à des particules là ou des produits de fission étaient disséminés dans l'atmosphère. La Russie est un vieillard malade à cause de cet accident.

Un illustrateur scientifique a tracé le chemin des radiations de Tchernobyl à travers l'Europe en dressant la carte des insectes présentant une malformation se trouvant sous le parcours du nuage de Tchernobyl. Aujourd'hui, il y a une pandémie de diabètes en Europe, résultat des radiations des essais nucléaires en atmosphère au Sahara par la France, de Tchernobyl et de l'Uranium Appauvri utilisé sur des champs de bataille depuis 1991.

Le Japon a déjà un taux d'infertilité très élevé, et un taux de mortalité croissant, de même qu'une épidémie de maladies en lien avec les radiations venant des 56 réacteurs nucléaires du Japon. Mais l'ouverture de Rokkasho, le plus grand centre nucléaire de traitement au monde le 1 avril 2006, détruira le Japon. Cela semble prophétique, qu'il ait commencé à être opérationnel un 1er avril ou peut être est ce de l'humour tordue de la CIA.

L'accord pour construire le premier réacteur thermonucléaire mondial, se trouvant maintenant à Rokkasho, dans le nord du Japon, a ironiquement été fait au sommet entre Reagan et Gorbatchev en 1985. Il émettra des émissions équivalentes à celles émises par 365 nouveaux réacteurs nucléaires pendant un an. Il y a seulement environ 411 réacteurs nucléaires commerciaux dans le monde. Le Japon aura bientôt l'équivalent d'émissions radioactives de 419 réacteurs nucléaires, dans un pays grand comme la Californie. Le Japon a les tremblements de terre les plus importants tous les cinq ans de magnitude 8 et plus !

Des gouvernements dans le monde dissimulent le lien entre les radiations et certaines maladies autour des centrales nucléaires, l'accident de Tchernobyl et les radiations de basse intensité. Il y a des gens haut placés au Japon qui connaissent quel est l'impact qu'aura Rokkasho sur l'état de l'environnement et sur la santé publique. L'information est déjà disponible dans des statistiques annuelles vitales publiées chaque année par le gouvernement japonais. Donc pourquoi un gouvernement empoisonnerait –il et détruirait-il ses propres citoyens en connaissance de cause ?

Il existe une alliance internationale nucléaire très puissante cachée. L'énergie nucléaire, les approvisionnements en uranium et les prix sont contrôlés mondialement par le Consortium Rothschild. Ce pouvoir et contrôle n'étaient pas évidents de prime abord.

Dans une série de deux volumes « Les Rothschild » le journaliste japonais Takashi Hirose a exposé les mécanismes bien dissimulés pour le contrôle par le Consortium Rothschild de l'énergie nucléaire. Un Rothschild a servi comme dirigeant d'affaires pour la reine d'Angleterre, qui possède en privé et secrètement des intérêts massifs dans des holdings d'uranium en Afrique, Canada et en Australie via les Rio Tinto Mines.

La carte d'Hirose des intermariages des Rothschild publié dans ses livres révèle que pendant des siècles ceux appartenant au Consortium Rothschild se sont largement inter mariés avec des familles royales et des nobles à l'échelle mondiale. Il a aussi révélé que la mère de la princesse Diana était une Rothschild via des intermariages remontant à plusieurs générations. C'est facile de comprendre comment l'élite dirigeante et le Pouvoir de l'argent à Londres ont des intérêts communs et des objectifs partagés, puisqu'ils profitent mutuellement en formant des alliances. Et ils savent que les responsables élus sont faciles à corrompre.


3 guerres nucléaires secrètes


Sans que la communauté internationale en ait vraiment conscience, l'élite dirigeante mondiale a mené 3 guerres nucléaires secrètes continuelles et se chevauchant partiellement depuis la fin de la seconde guerre mondiale, avec des tests menés en atmosphère, des centrales nucléaires, des armes nucléaires à l'UA. La technologie nucléaire sert certainement les objectifs de leur politique de dépopulation, et en même temps de profits maximums- - puisqu'ils possèdent les sources d'uranium nécessaire pour le combustible nucléaire, et on des intérêts personnels dans la production d'énergie nucléaire.

Il existe aussi des liens avec des entreprises pharmaceutiques qui servent leurs objectifs de profits maximums. Ils sont payés pour le désordre qu'ils engendrent et pour le nettoyer et ils sont payés pour traiter les maladies qu'ils produisent. C'est du biseness à répétition - - le capitalisme extrême dans ce qu'il a de mieux.

Le meilleur moyen de l'arrêter c'est pour les villes, villages de sortir de cette emprise. Les citoyens doivent posséder les entreprises d'énergie et passer à des énergies renouvelables, des formes passives et non destructrices d'énergie. L'économie basée sur le pétrole est un jeu d'arnaque, avec en prime extorsion, raquette et fraude.

Le « pic de pétrole » est un canular, que tout géologue connaît parce qu'il est recyclé tous les 20 ans pour doper les prix du pétrole. Son excellence Shiekh Ahmed Zaki Yamani, le ministre du pétrole saoudien de 1962 à 1986, croit que l'âge du pétrole se terminera non pas par manque de pétrole mais à cause de la technologie : « les prix du pétrole sont destinés à chuter à long terme et le monde n'utilisera pas jusqu'à la dernière goutte de pétrole parce qu'il n'en aura pas besoin : l'âge de pierre ne s'est pas terminée parce que nous manquions de pierre, et l'âge du pétrole ne se terminera pas parce que nous manquerons de pétrole . » (28)

Mondialement, des camelots propagandistes de l'establishment tel Al Gore font la promotion de l'énergie nucléaire comme une « énergie propre » et comme une solution au réchauffement climatique, mais elle ne l'est pas. Il y a un agenda caché et un partenariat secret économique entre des membres de l'élite dirigeante avec des intérêts personnels et de vastes profits à faire en faisant la promotion de l'énergie nucléaire.

Le partenariat caché des élites dirigeantes, plus spécifiquement certains membres des empires économiques britannique et américain a été révélé dans « “The Queen's Death Star: Bush, Cheney, Howard and the Queen.” (29). En son cœur, à proximité, il y a le groupe oligarchique financier concentré à la City de Londres dirigé par l'Epoux Royal le prince Philippe. L'Epoux Royal, de par son opinion et sa pratique est un grand fan de génocide : « si j'étais réincarné, j'aimerai revenir sur terre comme un virus tueur pour baisser le niveau de la population humaine. » a-t-il dit. (30)

L'Epoux Royal ne faisait que refléter les prédictions pessimistes économiques malthusiennes concernant le futur de l'humanité et l' »explosion démographique » au 18ème siècle. Le riche anglais Robert Malthus s'attendait à ce que des forces comme la guerre, la peste, la famine, éliminent une population qui s'accroissait. Des idées de politique de dépopulation pour faire des profits pour l'élite dirigeante étaient bien vivantes même au 18ème siècle.

Une guerre nucléaire secrète se développe en Asie, promue par les mêmes élites dirigeantes des empires économiques britannique et américain. Depuis 2003, le président Bush, le vice président Dick Cheney, et le premier ministre australien Howard ont imposé le nucléaire à la Corée du Sud, le Japon, la Chine et l'Inde.

Le programme de développement britannique du nucléaire en Asie est un remake des guerres de l'Opium en Chine il y a plusieurs siècles. Les guerres de l'Opium ont été crées purement pour le profit économique britannique en affaiblissant le gouvernement dirigeant dans le monde pendant un siècle.

L'agenda caché de dépopulation et d'affaiblissement de pays qui posent une menace est entrain de se répéter par impact sur les économies vibrantes qui se développent en Asie avec des maladies qui persistent pendant longtemps par empoisonnement radioactif et mutilation du futur génétique de vastes populations. Rien de neuf, les empires économiques britannique et américain sont infâmes se conduisant comme «hommes de frappe économique » avec une faim insatiable pour les ressources et les richesses des autres.

Leuren Moret


Références


1 Personal communication, November 1991, Livermore Nuclear Weapons Lab

2 International Criminal Tribunal for Afghanistan at Tokyo: Final Written Opinion of Judge Niloufer Bhagwat, March 10, 2004. http://www.mindfully.org/Reform/2004/Afghanistan-Criminal-Tribunal10mar04.htm

3 Moret, L., “Weapons Used, Targets Hit, Bombing Intensity in Lebanon by the Israeli Military”, Beirut Indymedia, Aug. 26, 2006. http://beirut.indymedia.org/ar/2006/08/5490.shtml

4 Fisk, R., “Robert Fisk: Mystery of Israel's secret uranium bomb – Alarm over radioactive legacy left by attack on Lebanon,” The Independent, Oct. 28, 2006.
http://news.independent.co.uk/world/fisk/article1935945.ece

5 Busby, C., Williams D., “Further evidence of enriched uranium in guided weapons employed by the Israeli military in Lebanon in July 2006: Ambulance air filter analysis,” Nov. 3, 2006. http://www.llrc.org

6 Department of State, Geneva Poison Gas Protocol 1925.
http://www.state.gov/t/ac/trt/4784.htm

7 U.S. Code, Title 50, Chapter 40, Sec. 2302: “The term ‘weapon of mass destruction' means any weapon or device that is intended, or has the capability, to cause death or serious bodily injury to a significant number of people through the release, dissemination, or impact of - (A) toxic or poisonous chemicals or their precursors; (B) a disease organism; or (C) radiation or radioactivity.”
http://uscode.house.gov/uscode-cgi/fastweb.exe?search

8 Department of the Air Force, “International Law – The Conduct of Armed Conflict and Air Operations,” Air Force Pamphlet AFP 110-31, pp.1-7 and 1-8.

9 Groves Memo: Blueprint for depleted uranium weaponry, Oct. 30, 1943.
http://www.mindfully.org/Nucs/Groves-Memo-Manhattan30oct43a.htm

10 Hershberg, James G., “James B. Conant: Harvard to Hiroshima and the Making of the Nuclear Age,” Stanford University Press, 1993, p. 244.

11 Muller, H.J., “Artificial Transmutation of the Gene,” Science, Vol. LXVI, No. 1699, July 22, 1927, pp.84-87.

12 Busby, C., and S. Morgan, “Did the use of uranium weapons in Gulf War 2 result in contamination of Europe? Evidence from the measurements of the Atomic Weapons Establishment, Aldermaston, Berkshire, UK,” January 2005, Aberystwyth: Green Audit.
http://www.llrc.org/aldermastrept.pdf

13 Moret, Leuren, “The Queen's Death Star: Depleted Uranium Measured in British Atmosphere from Battlefields in the Middle East,” Feb. 26, 2006. http://www.mindfully.org/Nucs/2006/DU-Europe-Moret26feb06.htm

14 “Global 2000 Report: Vision of a Gloomy World,” 1980, U.S. Government: ERIC No. EJ228905.

15 Personal communication with Suzanne Nichols, Theologian, Berkeley, California, December 21, 2006.

16 ”Tiny Rowland: The Ugly Face of Neocolonialism in Africa,” by an EIR Investigative Team. EIR (Executive Intelligence Review). Washington, D.C., 1993, 165 pages.

17 The Fiat Pax website is a project of UC Santa Cruz students and faculty to track university ties to the DOD.
http://www.fiatpax.net/dohe/jhu.htm

18 Moret, L., “UC Berkeley Public Health Stacks Now Classified,” Feb. 22, 2003.
http://www.mindfully.org/Nucs/2003/Berkeley-Library-Classified22feb03.htm

19 Douglas, G., “Gestapo Chief: The 1948 CIA Interrogation of Heinrich Mueller,” Vol. 2, p. 108.

20 Davidson, M., Ruppert, M. “A Career in Microbiology Can Be Harmful to Your Health: Death Toll Mounting as Connections to Dyncorp, Hadron, Promis Software and Disease Research Emerge,” From the Wilderness, Feb. 28, 2002. http://www.fromthewilderness.com/free/ww3/02_14_02_microbio.html

21 ”Dead Scientists Do Not Tell Tales,” Omega News, March 26, 2005.
http://omega.twoday.net/stories/592793/

22 Reardon, D.C., “Population Control and RU-486: The Hidden Agenda,” AfterAbortion.org.
http://www.afterabortion.org/RU486.html

23 Personal communication with a South African woman, Las Vegas, Nevada, November 2004.
24 Ibid.

25 Ruiz-Marrero, C., “Biopharmaceutical Crops Are a Disaster Waiting to Happen,” Organic Consumers Assoc., March 28, 2005. http://www.organicconsumers.org/ge/biopharm32905.cfm

26 Radiation and Public Health Project.
http://www.radiation.org

27 Smith, L., “Have DU Will Travel”: “What we've done is to replace the fallout from bomb testing with the so-called small permitted releases from nuclear plants,” interview with Dr. Ernest Sternglass, Lone Star Iconoclast, Feb. 28, 2006.
http://lonestaricon.com/2006/Archives/09/news07.htm

28 Special Report: “Saudi dove in the oil slick,” The Observer Guardian, Jan. 14, 2001.

29 Moret, L., 2006.

30 Prince Philip Duke of Edinburgh, leader of the World Wildlife Fund, quoted in “Are You Ready for Our New Age Future?” Insiders Report, American Policy Center, December 1995.

31 Moret, L., “Nuclear Weapons Stealth Takeover: Five Admirals, UC Regents, Carlyle Group and Rand,” San Francisco Bay View, Sept. 16, 2004.

32 Los Alamos Working Group, “Key nuclear warhead decisions pending, more,” Action Alert No. 75, Dec. 23, 2006

33 Ibid.

34 Cooper, M.W., “Behold a Pale Horse,” Light Technology Publishing, Flagstaff, Ariz., 1991, p. 167.

35 JAMA WHO.

36 David Rockefeller, “Memoirs,” p. 405.




Mémo du Général Groves de 1947 - Projet Manhattan

Ce document démontre que les dangers de l'uranium appauvri sont bien connus et depuis au moins 1943
Tirée de : http://www.avigolfe.com/pages/memorendum.htm

Memo Projet Manhattam 30 octobre 1943 General L.R. Groves

Ce mémo révèle l'état des connaissances des scientifiques du projet Manhattam (AVANT la première bombe atomique US) qui sont communiquées au général supervisant le projet. Il est en relation direct avec les chefs militaires et politiques du Pentagone donc du Ministre de la Défense et du président des USA de l'époque. On s'aperçoit que l'essentiel était connue des autorités scientifiques, militaires et politiques dès l'automne 43.

Le dit mémo est accessible dans la version HTML comportant une image de la page de garde du document original à l'URL suivante :
http://www.mindfully.org/Nucs/Groves-Memo-Manhattan30oct43.htm

Ce document a été communiqué par le Major Doug ROKKE à la scientifique Leuren Moret.qui adressa des courriers très détaillés à plusieurs membres du Congrès US, notamment le 21 février 2003
http://www.mindfully.org/Nucs/2003/Leuren-Moret-Gen-Groves21feb03.htm

Ne pas oublier que le mémo date de 1943, que les essais de bombes atomiques sont en cours et que le général Groves fonde son mémo sur un matériau radioactif disponible en très grande quantité aux USA comme probablement en Allemagne selon son estimation. C'est bien l'uranium

Memorandum to: Brigadier General L. R. Groves
From: Drs. Conant, Compton, and Urey
War Department
United States Engineer Office
Manhattan District
Oak Ridge Tennessee
October 30, 1943
Declassified June 5, 1974

1. Ci-joint [ sic ] un sommaire du rapport écrit par les Docteurs. James B. Conant, Président, A. H. Compton, et H. C. Urey, comportant un Sous-Comité du Comité de Direction S-1 sur l' "utilisation des matériaux radioactifs comme arme militaire." Il est recommandé qu'une décision soit obtenue de l'autorité compétente pour autoriser le travail additionnel concernant l'utilisation des matériaux radioactifs pour que ce pays puisse être prêt à employer ou à se défendre contre l'utilisation de tels matériaux. Le programme suivant est recommandé :

a. Formation immédiate d'un groupe de recherches et d'étude à l'Université de Chicago sous la surveillance de l'ingénieur actuel du secteur. Tâche à ce groupe d'individus compétents travaillant maintenant sur la poussière et le liquide disséminés par des munitions et de tester sur le terrain des agents de guerre chimique du Conseil de la "Recherche" de la Défense Nationale.

b. Attribution d'un officier compétent du Service de la Guerre Chimique à l'ingénieur de région de Chicago, avec qui il se familiariserait et travaillerait sur le problème à l'étude à l'Université de Chicago. Cet officier devrait être expérimenté dans l'utilisation pratique des gaz de guerre.

c. La responsabilité de l'organisation ci-dessus serait :

(1) Développer les instruments indiquant le rayonnement, améliorer les équipements actuels de la Victoreen Company et préparer un test de contrôle des instruments avec cette compagnie.

(2) Lancer les études théoriques concernant les méthodes, les moyens et l'équipement pour disséminer le matériel radioactif comme arme de la guerre.

(3) Mener des essais sur le terrain dans des lieux isolés tels que les travaux de l'ingénieur Clinton ou des travaux de l'ingénieur Sanford, en utilisant un matériel traceur non radioactif.

(4) Préparer un manuel d'instruction pour l'utilisation ou la défense contre des armes radioactives.
Ce manuel serait semblable à celui employé actuellement par le service de la guerre chimique pour les gaz de guerre.

(5) Comme un instrument des gaz de guerre le matériel serait fondé sur des particules de taille microscopique pour former la poussière et des aérosols. Il serait disséminé à partir d'un projectile tiré par des véhicules terrestres ou des bombes aériennes. Sous cette forme il serait inhalé par le personnel. La quantité nécessaire pour causer la mort à une personne inhalant le matériel est extrêmement petite. On a estimé qu'un millionième d'un gramme s'accumulant dans le corps d'une personne serait mortel. Il n'y a aucune méthode de traitement connue pour un tel accident Deux facteurs semblent augmenter l'efficacité de la poussière radioactive d'aérosols comme arme.
Ce sont :

(1) il ne peut pas être détecté par les sens ;

(2) il peut être disséminé sous une poussière ou une forme d'aérosols en poudre tellement fine qu'elle imprégnerait un filtre standard de masque à gaz dans des quantités assez grandes pour être extrêmement préjudiciable. Un facteur extérieur dans son efficacité comme arme est celui de toute poussière ou tout aérosol dans lesquels le matériel est pulvérisé tellement finement qu'il prend la caractéristique d'un gaz absorbé rapidement et donc il est sujet à tous les facteurs (tel que le vent) agissant contre la défense de concentrations élevées en quelques minutes sur un secteur donné.

c. Utilisation possible par l'ennemi.

On estime que la guerre radioactive peut être employée par les Allemands pour les buts suivants :

(1) rendre des secteurs évacués inhabitables.

(2) contaminer de petits secteurs critiques tels que des gares de chemin de fer et des aéroports.

(3) Comme un gaz radioactif toxique pour créer des accidents parmi des troupes.

(4) Contre de grandes villes, pour favoriser la panique et créer des victimes parmi les populations
civiles.

Pour l'usage dans les villes, on estime que les concentrations devraient être extrêmement élevées pour contrer l'effet d'armature des bâtiments. Les docteurs Compton et Urey, deux membres du Comité, craignent que le matériel radioactif puisse être employé par les Allemands contre les Nations Unies à l'automne 1943. Apparemment le Doct. Conant n'est pas convaincu de cette opinion.

d. Utilisation possible par les États-Unis.

La recommandation de ce sous-comité est, si les autorités militaires estiment que les Etats-Unis devraient être prêts à utiliser les armes radioactives au cas où l'ennemi commencerait en premier, des études sur le sujet devraient être commencées immédiatement.

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Les utilisations militaires possibles des matériaux radioactifs sont les suivantes :

(1) Comme contaminant de terrain. Pour être employés de cette manière, les matériaux radioactifs seraient répandus sur terre à partir de l'air ou du sol si l'ennemi est dans le territoire à contrôler. Dans le but d'interdire le terrain à l'un ou l'autre des belligérants sauf aux dépens d'exposer le personnel aux rayonnements nocifs

Les estimations indiquent que ces matériaux pourraient être produits par les Allemands dans de telles quantités, que tous les quatre jours deux 'miles' carrés de terrain jusqu'à trois pieds au-dessus du niveau du sol, pourraient être contaminés à une intensité moyenne de rayonnement de cent rontgens par jour. L'exposition par jour (100 roentgens au corps entier) aurait comme conséquence l'incapacité provisoire, un période d'exposition un peu plus courte entraîne une incapacité moindre et une exposition d'une semaine entraîne la mort. Les effets sur une personne ne seraient probablement pas immédiats, mais seraient retardés pendant des jours ou peut-être des semaines en fonction des quantités d'exposition. L'exposition de cinq à dix fois la concentration ci-dessus décrite
frapperait d'incapacité dans un à deux jours et serait mortelle dans les deux à cinq jours suivants. Les secteurs ainsi contaminés par le matériel radioactif seraient dangereux jusqu'à ce que la désintégration normalement lente du matériel ait eu lieu, ce qui prendrait des semaines et même des mois <>.

Sur une surface lisse et dure, une certaine décontamination pourrait être accomplie par le rinçage avec de l'eau, mais pour le terrain moyen aucune méthode de décontamination n'est connue. Aucun vêtement de protection efficace pour le personnel ne semble possible d'être développé.

(2) Comme un instrument de gaz de guerre le matériel serait fondé sur des particules de taille microscopique pour former la poussière et des aérosols. Il serait disséminé à partir d'un projectile tiré par des véhicules terrestres ou des bombes aériennes. Sous cette forme il serait inhalé par le personnel. La quantité nécessaire pour causer la mort à une personne inhalant le matériel est extrêmement petite. On a estimé qu'un millionième d'un gramme s'accumulant dans le corps d'une personne serait mortel. Il n'y a aucune méthode de traitement connue pour un tel accident Les secteurs ainsi contaminés par les poussières et aérosols radioactifs, seraient dangereux aussi
longtemps qu'une concentration de matériel puisse être maintenue assez élevée. Sous ces formes, les matériaux prennent les caractéristiques d'un gaz absorbé rapidement et il est improbable que des concentrations importantes puissent être maintenues plus que quelques minutes pour un secteur donné. Cependant, elles peuvent s'envoler comme une poussière fine du terrain par les vents, le mouvement des véhicules ou des troupes, etc., et resteraient un risque pour longtemps. Ces matériaux peuvent également étant ainsi disposés comme absorbés dans le corps par ingestion au lieu de l'inhalation. Des réservoirs ou des puits seraient contaminés ou la nourriture aurait été
empoisonnée avec un effet semblable à cela résultant de l'inhalation de la poussière ou des aérosols. La production de quatre jours pourrait contaminer des millions de gallons d'eau jusqu'à un degré qu'un seul quart bu en un jour aurait probablement comme conséquence l'incapacité ou la mort complète dans un délai d' environ un mois.

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B. Les Sources Internes

L'APPAREIL RESPIRATOIRE: Le Doct. Wollan a estimé qu'une accumulation de 10-3 curies de matériel radioactif de rayonnement bêta à grande énergie produirait une exposition d'environ 100 r/jour aux poumons. Malheureusement, il n'y a aucun rapport de données expérimentales directement sur le dépôt des produits de f [ fission ] ni sur l'action des rayonnements bêta sur les surfaces bronchiques et alvéolaires.

Des particules de taille supérieure à 1μ [micron] sont susceptibles d'être déposées dans le nez, la trachée ou les bronches et puis entraînées sur les parois des muqueuses au taux de 1/2 - 1 cm/min. Des particules plus petites que 1μ [ micron ] peuvent être déposées dans les alvéoles où elles demeureront indéfiniment ou seront absorbées dans le lymphatique ou le sang. La probabilité du dépôt des particules de poussière n'importe où dans l'appareil respiratoire dépend du taux respiratoire, la dimension particulaire, le produit chimique et la nature physique, la concentration dans l'atmosphère. Par conséquent la probabilité des produits de f [ fission ] endommageant le poumon dépend de tous ces facteurs.

Bien que l'information seulement fragmentaire est disponible, on estime que les dommages seraient manifestes en tant qu'irritation bronchique avançant de quelques heures à quelques jours, selon la dose. Il ne frapperait pas d'incapacité immédiatement excepté avec des doses au voisinage de 400 r ou plus [ roentgens ] par jour. L'effet le plus sérieux des dommages permanents apparaissant de nombreux mois plus tard après l'irradiation persistante des particules maintenues quotidiennement, même aux taux bas.

Il semblerait que les gaz chimiques pourraient accomplir plus et également plus rapidement d'autant que les surfaces de peau et les poumons sont concernés. Les émetteurs de bêta auraient des effets plus permanents -- démarrant des mois après exposition. appareil Gastro-Intestinal : Les produits de f [ fission ] émettant des bêtas pourraient entrer dans l'appareil gastro-intestinal à partir de l'eau polluée, de la nourriture ou de l'air. De l'air, ils atteindraient les muqueuses du nez, la gorge, les bronches, etc., et être ingurgités. Les effets seraient irritation locale juste comme dans les bronches et la même quantité d'exposition serait exigée. L'estomac, le caecum, et le rectum, où le contenu demeure pendant de plus longues périodes qu'ailleurs seraient le plus susceptibles d'être affectés. Il est imaginable que des ulcères et les perforations de l'intestin suivi de la mort pourraient être
produits, même sans aucun effet général du rayonnement.

Voies sanguines ET TISSUS: les produits de fission émettant des bêta et gamma peuvent être absorbés à partir des poumons ou de l'appareil G-I dans le sang et ainsi être disséminés dans tout le corps.

Ce document contient l'information affectant la défense nationale des Etats-Unis au sens de la Loi d'espionnage, U.S.C. 50 : 31 et 32. Sa transmission ou la révélation de son contenu de n'importe quelle façon à une personne non autorisée est interdite par la loi.






Forces canadiennes
Des soldats utilisés comme cobayes atomiques
Mise à jour : 06/11/2007
http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/national/archives/2007/11/20071106-162341.html
Par Normand Rhéaume

Le Canada a envoyé de jeunes soldats pour participer à des essais atomiques quatre fois plus puissants que la bombe d'Hiroshima et le gouvernement fédéral refuse de reconnaître sa responsabilité pour les cancers et autres maladies graves qui ont affecté les militaires à la suite de la mission. Sans compter les malformations dont souffrent de nombreux enfants de soldats ayant été exposés à d'intenses radiations nucléaires.

C'est cette tragique histoire que trois vétérans canadiens sont venus expliquer dans une salle du parlement à Ottawa.

En 1957, l'armée canadienne a réuni 40 de ses jeunes soldats, plusieurs âgés de 18 ans, et les a envoyés dans le désert du Nevada dans le but de participer à des essais atomiques militaires menés par les États-Unis.

Au cours de leur mission de deux mois, ils ont été obligés d'observer de très près six explosions nucléaires de grande puissance.

Les soldats canadiens étaient postés dans des tranchées et, immédiatement à la suite de la déflagration, ils devaient faire des manoeuvres militaires. «Les autorités canadiennes n'ont pas informé les soldats du caractère très dangereux de la mission d'entraînement», a relaté Jim Huntley, un des vétérans toujours en vie et qui a précisé qu'au moins 22 de ses anciens collègues sont décédés des suites de cancers et de maladies débilitantes causées par les radiations atomiques.

C'est seulement rendus au Nevada que nous avons réalisé que nous devions faire des manoeuvres militaires près des lieux d'explosion des bombes atomiques», a poursuivi celui qui agit comme porte-parole de l'Association des vétérans des essais atomiques.

Les vétérans tentent en vain depuis 15 ans d'obtenir du gouvernement canadien une reconnaissance des faits, une compensations financière individuelle de 150 000$ CAN et des prestations de retraite militaires pour les veuves des soldats décédés des suites des radiations.

Depuis le début de l'année, deux ministres de la Défense du gouvernement conservateur, Gordon O'Connor et Peter McKay, ont fait des promesses qui n'ont pas été tenues. L'Associations des vétérans des essais atomiques envisage maintenant d'intenter un recours collectif contre le gouvernement canadien.

Au moins 22 du groupe original de 40 soldats canadiens sont déjà morts. Huit enfants de soldats souffrent de malformations. Et ce chiffre est un minimum, car les familles préfèrent garder confidentielles les conséquences génétiques des radiations nucléaires.

Au contraire du Canada, les États-Unis ont reconnu les faits et, sous la présidence de Bill Clinton, le gouvernement américain a offert une compensation individuelle de 75 000$ US à ses soldats qui avaient participé aux mêmes essais nucléaires.
`

Un documentaire a été réalisé sur cette affaire qualifiée de «pathétique» par M. Huntley. Réalisé par Guylaine Maroist et Éric Ruel, le film, intitulé Bombes à retardement, sera diffusé prochainement à la télévision.

En français, il sera présenté le dimanche 11 novembre 2007 sur Canal D et, en anglais, la veille, 10 novembre sur Global Television.

Mme Maroist a expliqué que la mission de 1957 en sol étatsunien n'a pas été la seule à impliquer des militaires canadiens dans des essais d'explosions atomiques. En tout, le Canada a envoyé 456 soldats dans des missions similaires entre 1940 et 1962.



Une commission du Sénat italien e
nquête sur les munitions à l’uranium
: Un ministre confirme 255 cas de tumeurs cancéreuses parmi les soldats italiens engagés à l’étranger

Traduction Horizons et débats, Source www.repubblica.it

Avec beaucoup de retard, le drame de la mort de soldats italiens décédés à la suite des maladies cancereuses causées par la munition à l’uranium vient au jour. Il s’agit d’un scandale d’une dimension effrayante qui est soigneu­sement dissimulé par les pouvoirs belligérants. Le prix payé par ces jeunes vies humaines est énorme ; peut-être ne connaîtrons-nous jamais le vrai nombre de victimes.

Un observateur constate : « Les chiffres sont dix fois plus élevés. »

Au cours des auditions concernant l’uranium appauvri devant la commission d’enquête parlementaire du Sénat, le ministre italien de la Défense, Arturo Parisi, a déclaré : « En tout, 255 soldats, ayant participé entre 1996 et 2006 à des missions dans les Balkans, en Afghanistan, en Irak et au Liban, sont atteints par des maladies cancéreuses, dont 37 sont déjà décédés. » Parisi affirme que lors de l’engagement des soldats dans des « régions critiques », l’armée est « en train d’examiner toutes sortes de mesures préven­tives.

Nous ne voulons dans aucun cas sousestimer le phénomène et encore moins le dissimuler. » Le ministre de la Défense ajoute que l’Italie « n’a jamais employé de la munition à l’uranium et nous ne pensons pas que d’autres l’aient fait sur nos places d’armes, à moins que des forces étrangères aient opéré avec de fausses informations ; une chose que je n’ose à peine croire. »

L’estimation de l’Osservatore militare est tout à fait différente. Domenico Leggiero, représentant de l’organisation, qui s’occupe des membres de l’armée et de leurs familles, déclare que les données du ministre sont fausses : « Nous sommes désolés, mais de cette manière Parisi perd également de sa crédibilité. Nous avions mis notre espoir en lui, mais ces chiffres sont trop éloignés de la vérité. » Leggiero affirme qu’il dispose « d’autres chiffres officiels de l’armée indiquant presque dix fois plus de maladies et trois fois plus de morts. » Il ajoute : « C’est justement aujourd’hui qu’a lieu en Sicile l’enterrement du gendarme carabiniere Giuseppe Bongiovanni, décédé avant-hier d’une tumeur dont il avait été atteint lors d’une mission à l’étranger. Quand on fait des recherches auprès du ministère, cette victime n’y est pas enregistrée. »